Kong kong.

J'aime le bruits des tapes furtives sur un clavier. Je suis rentrée, lundi. Cet endroit est impressionant. J'ai encore aimé. Je crois réellement avoir un problème. C'est futile inutile, mais étant donné mon envie d'être en paix avec moi, c'est un obstacle à la solitude. J'ai encore aimé, la distance est toujours une épreuve à laquelle j'echoue continuellement. Je perd, je perd toute crédibilité envers ma conscience. Les hommes m'attirent, c'est un besoin ireel d'aquerir de l'affection. Mon corps réagit, et mes pensées sont confuses? Je suis un monstre qui ne sait pas être à quelqu'un. Pourquoi faut il que je sois si egoiste a tel point d'en oublier même que je ne suis rien, et que mes émotions, de toutes façons, ont été crées, modelées, détruites depuis l'enfance. Pourquoi toute cette supercherie prend le dessus, pourquoi ne pas etre honnete envers moi meme, et pour une fois, tout quitter, et voir.

Comments

[blownblue]

Ça c'est une grande question : sommes-nous autre chose que ce que notre vie nous a déterminés à être ?

Si tu veux un semblant de réponse; je dirais que tes actes à priori fautifs ne sont pas complètement hors sujet de toi-même.
Je crois que la pensée de nos actes, surtout les irrépressibles, nous conduisent vers une sorte de quintessence, lentement approchée.
C'est presque un polar, où l'on enquête...

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:)